
Le constat est clair. Seuls 10% des compléments alimentaires du marché français (88,3 M€ de CA) sont vendus en GMS contre 66% en pharmacie et parapharmacie. Et 63% des Français n’en consomment pas. La marge de progression est donc faramineuse ! Et c’est tout l’enjeu de la stratégie mise en place par les Laboratoires Vitarmonyl depuis sa création en 1994. “Notre ambition est d’offrir de la santé et du bien-être au plus grand nombre, à un prix GMS”, lance Nicolas Roussel, directeur commercial des Laboratoires Vitarmonyl. Une stratégie qui cible la deuxième préoccupation des Français : la santé. Une préoccupation grandissante compte tenu du taux de vieillissement de la population, mais aussi d’une tendance forte à l’automédication, engendrée par le déremboursement des médicaments, et à la prise en charge de sa santé et de son bien-être. “Nous répondons intégralement à cette attente avec des produits de qualité pharmaceutique, au bon dosage et à un prix de vente conseillé le moins cher du marché”, ajoute-t-il. Soit un indice prix de 92 qui positionne les Laboratoires Vitarmonyl à 8% de moins que la moyenne du marché.
3 profils de consommatricesAlors, comment travailler la catégorie pour que les compléments alimentaires gagnent des parts de marché en GMS “Aujourd’hui, nous sommes confrontés à une problématique d’exposition. La catégorie n’est pas suffisamment visible en GMS”, explique Nicolas Roussel. Il faut dire que l’histoire a pris une drôle de tournure en 2007. Des spécialistes de la